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AMERINDIENS -INDIENS D'AMERIQUE

SAGESSES AMERINDIENNES

Audrey shenandoah de la Tribu onondaga

Etre né homme sur cette terre, est une charge sacré. Nous avons une responsabilité sacrée, du fait de ce présent. Exceptionnel qui nous à été fait, bien au dessus du beau cadeau. Qu'est la vie des plantes des poissons, des forets, des oiseaux et de tous les etres qui vivent sur terre. Nous nous devons de prendre soin d'eux.

Parole de la tribu Hopi

Soyez heureux afin de vivre vieux, les soucis vous rendent malade. Se mettre en colère est une mauvaise habitude si l'innocent ne se met pas en colère, il vivra longtemps. Celui qui a quelque chose à se reprocher, perdra la santé à cause de ses pensées négatives s'il est vrai que le bonheur soit bon, il est également source de santé.

Parole d'un Anonyme de la tribu Téton Sioux

Un homme peut bien faire des choses mystérieuses, mais aucun n'a jamais été capable de trouver qui commande au ciel et à la lune, ni au changement des saisons.

L'homme peut bien exécuter les plus merveilleuses actions. Il peut bien fabriquer les objets, les plus magnifiques, ils ne seront pas comparables à l'œuvre de la nature, quand les saisons changent. Nous les regardons comme un don du soleil qui est le plus fort, de tous les pouvoirs mystérieux et sacré.

Parole de Leslie Marmon Silko tribu Laguna Pueblo

Quand nous, les enfants, devenions trop turbulents, quand nous creusions des trous partout, arrachions les herbes, les anciens se mettaient en colère. Ils nous disaient "ça suffit, laissez la terre en paix"

Cela signifiait que les choses n'ont nul besoin de changer l'ordre du monde, de le bouleverser. Il ne nous serait jamais venu à l'idée de tuer une grenouille ou d'agacer un insecte, une mouche, une fourmi, un serpent. 

Pour nous, être humain, ces créatures sont des messagers, des esprits bienveillants. Ce respect, profondément ancré dans notre culture, s'étendait aux rochers, à la poussière, à l'eau. C'est ainsi que j'ai appris à voir le monde.

Parole d'un anonyme de la tribu Kaypacha

L’homme moderne oublie que la Terre est un être vivant, un être intelligent qui sont en train d’enregistrer dans sa mémoire les actions humaines.

Nous, les natifs, nous cherchons des êtres écologiques, des êtres équilibrés, des êtres heureux. Nous savons que l’unique manière de sauver la vie est de remettre la vie à la vie. Seule celui qui est irréprochable accomplie la loi cosmique sacrée, cette loi écrite dans nos cœurs et qui dit : jouis de la vie, toujours ; ne cesse pas d’apprendre.

Parole de Oren Lyons de la tribu Iroquois onondaga

L'homme croit quelquefois qu'il a été créé pour dominer, pour diriger. Mais il se trompe. Il fait seulement partie du tout. Sa fonction ne consiste pas à exploiter, mais à surveiller, à être régisseur. L'homme n'a ni pouvoir ni privilèges, seulement des responsabilités.

Parole de Cheval fou Kwenda kwaswa

J’ai connu autrefois un monde merveilleux
La nature indomptable, que l’on refusait de dompter
Les nuages enchanteurs, que l’on voyait défiler aux cieux
Et le temps incertain, que l’on acceptait sans maugrée.
 
J’ai connu autrefois un lieu merveilleux
Où l’harmonie régnait dans un désordre orchestré par les Dieux
des Dieux de toutes sortes que l’on savait loyaux
Et qui ne nous asservissaient pas d’impossibles idéaux
 
J’ai connu autrefois un lieu merveilleux
Les montagnes étaient hautes, si haute,  mais jamais infranchissables
Les rivières charriaient dans leur lit notre réserve d’eau potable
Et soulageaient nos pieds fatigués sur les sentiers rocailleux
Elles étaient parfois profondes ces rivières qui jaillissaient
 
En torrents sauvages et limpides, dans lesquels on ses désaltérait
Elles étaient profondes, si profondes… mais jamais on ne s’y noyait
Elles exprimaient leurs murmures fougueux, à nos oreilles qui les écoutaient
 
J’ai connu autrefois un lieu merveilleux
Les oiseaux gazouillaient fièrement parmi les feuilles qui bruissaient
Agitées par mille vents célestes qui nous rafraîchissaient
Comme autant de soupirs divins qui nous rendaient heureux
 
J’ai connu autrefois un lieu merveilleux
Où le soleil réchauffait nos esprits et nos cœurs
Nous rendant le sens de l’immensité de la richesse intérieure
Nous éclairant sur les chemins parfois longs de nos jours heureux
 
J’ai connu autrefois un monde merveilleux. Qui ne demandait rien, sauf notre respect, pour éviter son courroux,. Qui ne demandait rien, à nous, qui donnions tout.
 
J’ai connu, autrefois, un monde merveilleux, Un monde que vous n’avez pas compris. Un monde à jamais anéanti, détruit, insensibles aux cris de douleur qui montaient de votre mère la Terre. Quand, sans regret, elle fut massacrée, toute entière…
 
Et nous avec, nous aussi, et moi aussi. Un homme, c’est si petit.
Indien Taganta Mani de la tribu Stoney
 
Nous étions un peuple sans lois, mais nous étions en très bons termes avec le Grand Esprit, créateur et maître de toute chose. Vous présumiez que nous étions des sauvages. Vous ne compreniez pas nos prières. Vous n'essayiez pas de les comprendre. Lorsque nous chantions nos louanges au soleil, à la lune ou au vent, vous nous traitiez d'idolâtres. Sans comprendre, vous nous avez condamnés comme des âmes perdues, simplement parce que notre religion était différente de la vôtre.
 
Nous voyions la main du Grand Esprit dans presque tout : le soleil, la lune, les arbres, le vent et les montagnes, parfois nous l'approchions par leur intermédiaire. Etait-ce si mal ? Je pense que nous croyons sincèrement en l'Etre suprême : d'une foi plus forte que celle de bien des Blancs qui nous ont traités de païens.
 
Les Indiens vivants près de la nature et du Maître de la nature ne vivent pas dans l'obscurité.
 
Saviez vous que les arbres parlent ? Ils le font pourtant ! Ils se parlent entre eux et ils vous parleront si vous écoutez. L'ennui avec les Blancs, c'est qu'ils n'écoutent pas! Ils n'ont jamais écouté les Indiens, aussi je suppose qu'ils n'écouteront pas les autres voix de la nature. Pourtant, les arbres m'ont beaucoup appris : tantôt sur le temps, tantôt sur les animaux, tantôt sur le Grand Esprit.

Chef shawnee de la tribu Tecumseh

Quand tu te lèves le matin, remercie pour la lumière du jour pour ta vie et ta force.
Remercie pour la nourriture et le bonheur de vivre.
Si tu ne vois pas de raison de remercier, la faute repose en toi-même.
Indien Elan Noir de la tribu Sioux

La paix ne pourra naître dans ce monde, que lorsque l'hommes prendra conscience de l'unité de la vie existant entre la nature, les animaux, les plantes, les minéraux et les hommes et vivra en conséquence.

Chef Seattle de la tribu Suquamish

Nous le savons, la terre n'appartient pas à l'homme, c'est l'homme qui appartient à la terre. Nous le savons, toutes choses sont liées. Tout ce qui arrive à la terre arrive au fils de la terre. L'homme n'a pas tissé la toile de la vie, il n'est qu'un fil de tissu. Tout ce qu'il fait à la toile, il le fait à lui-même.

Chef Standing Bear de la tribu des Sioux Oglalas

Ma main n'a pas la même couleur que la tienne, mais si je la perce, j'aurais mal, Le sang qui en coulera sera de la même couleur que le tien. Nous sommes tous deux enfants du Grand Esprit.

Black Elk "élan noir" de la tribu Oglala

Il parait qu'autrefois nous étions civilisés et instruits. Nous savions parler aux arbres et à toutes les plantes, aux peuple ailés, aux quadrupèdes, aux etres rampants, aux mamifères et aux peuples des poissons. 

De plus, nous étions capable de communiquer entre nous. Nous formions un seul et même esprit. C'est ce qu'on appelle être civilisé ou instruit.

Et puis nous nous sommes éloignés de cette connaissance pour devenir ce que nous sommes maintenant..

 

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