18 Juillet 2023
CHETCO : Voir Chatacosta.
CHEVEUX-RELEVES : Voir Ojibwa.
CHEYENNES, SHYHELA, TSITSISTAS : Fait parti du groupe Algonquiens. Oklahoma, Montana. Leur véritable nom est Shyhela qui est devenu Cheyenne en anglais. Dans leur langue maternelle, ils se nomment Tsitsista. Alliés des Arapahos et des Sioux Lakotas.
Ils vivaient à l'Est des Plaines, dans la région des grands lacs, ce qui explique qu'ils soient de langue algonquine, langue différente de celle des Sioux pourtant également peuple des plaines. Ils demeuraient alors dans de longues maisons, et ne connaissaient pas le bison.
Sans cesse confrontés aux Ojibwa, Ree et Mandan, ils commencèrent par s'installer dans le Minnesota puis le long de la Cheyenne River dans le Nord Dakota. Puis ils se déplacèrent du côté des Blacks Hills dans le Sud Dakota. Mais lorsqu'ils acquirent des chevaux, vers 1760, ils devinrent nomades C'est dans les plaines qu'ils se mirent à fabriquer des tipis et à suivre et chasser le bison.
Un jour, ils rencontrèrent une tribu indienne qui vivait non loin d'eux : les Sohtai ou Sotaae'o. Ils décidèrent de les combattre mais s'aperçurent qu'ils parlaient la même langue alors ils firent la paix et cette petite tribu vécut au milieu des Cheyennes.
Aux environs de 1830, les Cheyennes se divisèrent en deux groupes : les Cheyennes du Sud le long de la rivière Arkansas supérieure et les Cheyennes du Nord aux sources de la Platte River. Lorsque du métal jaune fut trouvé sur leurs terres, les Cheyennes du Sud s'opposèrent à l'invasion des colons à la fin des années 1850.
Finalement, le chef Black Kettle (1868) se retira dans la réserve de Sand Creek (Colorado) où, le 29 novembre 1864, les miliciens du colonel John Chivington massacrèrent 150 à 270 hommes, femmes et enfants cheyennes et Arapahos ; après le massacre, ils scalpèrent et mutilèrent sexuellement de nombreux corps, avant d'exhiber leurs trophées, à Denver, devant une foule en délire. La tuerie déclencha une série de raids indiens dans tout le Kansas.
Du 17 au 25 septembre 1868 eut lieu la Bataille de Beecher Island, dans le Colorado, qui vit la victoire de l'armée fédérale sur les Arapahos, les Cheyennes et les Lakotas ; le chef cheyenne Roman Nose (Nez Romain) ou Arched Nose (Nez Arqué) fut tué.
Le 27 novembre 1868, les 800 hommes du 7ème de cavalerie de George Armstrong Custer attaquèrent le camp de Black Kettle (51 tipis), près de la Washita River, tuant 148 ou 103 Indiens dont le chef et sa femme. L'année suivante, les Cheyennes furent exilés dans les réserves des plaines du Nord. Sous la houlette de Sitting Bull (sioux Hunkpapa) et de Crazy Horse (sioux Hunkpatila), Sioux et Cheyennes unirent leurs forces.
Le 25 juin 1876, plus de 2 000 guerriers menés par Gall (sioux Hunkpapa), White Bull (sioux miniconjou, neveu de Sitting Bull), Crazy Horse et le cheyenne Lame White Man, anéantirent le général Custer [surnommé Pehnin Hanska (Longs Cheveux) qui avait attaqué un camp indien dans les Black Hills] et 263 soldats du 7e régiment de cavalerie, près de Little Big Horn River (Montana), lors de la Bataille de l’herbe grasse (Battle of Greasy Grass Creek). Le chef cheyenne Lame White Man trouva également la mort.
William Cody, surnommé Buffalo Bill, qui participa, en 1876, sous les ordres du colonel Custer, à la répression contre les Cheyennes et les Sioux, eut la chance de ne pas être présent à la bataille de Little Big Horn. William Cody aurait proposé l’extermination totale des bisons des Grandes Plaines pour priver les Indiens de ressources.
Le 25 novembre 1876, les troupes fédérales battirent les Cheyennes à la Bataille de Dull Knife. Après leur reddition en 1877, 972 Cheyennes furent transférés par le gouvernement américain dans le territoire Indien (l'actuel Oklahoma).
En 1878, deux chefs, Morning Star (connu sous le nom de Dull Knife par les colons) et Little Wolf, accompagnés de 76 guerriers (dont les plus jeunes n’avaient que 12 ans) et leurs familles, l'ensemble formant un groupe de 370 personnes, décidèrent de retourner sur leurs terres du nord. Ils entreprirent le voyage, long de 3 000 miles (4 800 km), vers l'actuel Montana, avec 13 000 soldats à leur poursuite auxquels ils échappèrent, marchant la nuit et brouillant les pistes.
En 1879, à cause d’une tempête de neige dans le Nebraska, les chefs décidèrent de scinder le groupe : le chef de paix (chef civil), Morning Star, conduirait les malades et les vieux à Fort Robinson tandis que Little Wolf, le chef de guerre, prendrait la coiffe sacré des Cheyennes du nord et continuerait la route vers les terres ancestrales.
Le groupe mené par Little Wolf retourna dans le Montana. Quand Morning Star et son groupe arrivèrent près de Fort Robinson, ils entendirent les soldats venir à leur rencontre. Alors ils démontèrent leurs fusils et leurs revolvers et cachèrent les pièces sur le corps des enfants et des femmes.
On les fit entrer dans Fort Robinson, là même où Crazy Horse aurait été assassiné et on leur annonça qu'ils seraient renvoyés dans les territoires indiens de l’Oklahoma. Morning Star refusa et dit : « Tuez nous plutôt tout de suite et ramenez nos corps. » Le commandant du fort les enferma dans des baraques où pendant 9 jours entiers on les laissa sans eau ni nourriture.
Little Fingernail, un Hotaminio ou Dog Soldier (membre de la Société des Guerriers Chiens qui compte les plus valeureux guerriers des plaines), eut ses 20 ans dans cette prison. Le 9 janvier, à la tombée de la nuit, 80 à 90 s’évadèrent et allèrent se cacher dans des grottes.
La plupart furent rattrapés et massacrés. Little Fingernail et deux autres guerriers accompagnés de leurs familles se sauvèrent. Ils progressèrent vers le Nord, vers la haute montagne où ils pourraient se cacher. Ils marchèrent longtemps et furent si affamés qu'ils mangèrent leurs mocassins. Ils attrapèrent du gibier qu'ils mangèrent cru cars ils ne firent pas de feu pour ne pas être repérés.
Le 22 janvier, ils furent rejoints par l'armée et encerclés. Little Fingernail pensa qu'ils étaient les derniers Cheyennes et il dit à sa femme : « Nous, les trois guerriers, nous allons charger l'ennemi. Quand nous mourrons, tuez nos enfants, parce que cette planète et les blancs qui y vivent ne veulent pas y voir vivre les Cheyennes. Ensuite, tuez-vous. » Les guerriers chargèrent. Ils furent tués après s'être battu courageusement en Guerriers-Chiens qu'ils étaient. Et les femmes, réfugiées dans des fosses à bisons (ils s’y roulent avec délectation pour se couvrir de boue), firent ce que leur avaient demandé leurs maris.
Beaucoup de soldats quittèrent l'armée à cause de ces atrocités et massacres. 50 rescapés auraient pu rejoindre les autres Cheyennes du Nord dans le Montana. Une réserve, établie en 1884 dans le sud-est du Montana, fut étendue, en 1890, depuis la réserve crow à l'ouest jusqu’à la Tongue River à l'est.
CHICACHAS, CHICHASHA CHICAKAS : Voir Chickasaw.
CHICKASAW, CHICACHAS, TCHAKCHAS : Situé dans l'Oklahoma. Ils faisaient partie des Cinq Nations Civilisées : Cherokee, Choctaw, Chickasaw, Creek et Séminoles. Ils occupèrent l’Alabama (Cherokee au nord, Creek et Choctaw au sud). Voir Creek. Chef célèbre : Tishomingo.
CHIENS : Chargés de veiller à la sécurité de la nation, les Hotaminio ou Dogs Soldiers (Guerriers-Chiens) constituaient la plus célèbre des nombreuses sociétés de guerriers des Cheyennes .
CHILKAT : Ils font partie de la nation Tlingit.
CHINOOK : Langue : pénutien. Amérique du Nord. Langue en voie d’extinction. Il reste à peu prêt de nos jours 30 locuteurs. Ils vivaient autrefois le long de la Columbia, près du Pacifique.
Pratiquement éteinte à l'heure actuelle, la population chinook s'élevait à environ 16.000 personnes au début du XIXe siècle. Ils étaient connus pour être des commerçants, des pêcheurs de saumon et des chasseurs. D'autres peuples qui venaient parfois d'aussi loin que les Grandes Plaines troquaient leurs marchandises contre celles des Chinook : saumon séché, coquillages, mais aussi des esclaves.
Une langue chinook simple, dénommée "jargon chinook", était connue de tous les négociants depuis l'Alaska jusqu'à la Californie.
Les explorateurs américains Meriwether Lewis et William Clark (célèbres pour leur "expédition Lewis et Clark") furent les premiers étrangers à décrire les Chinook. Ceux-ci vivaient en villages apparemment constitués de groupes de proches parents.
Au début du XIXe siècle, les explorateurs et les commerçants amenèrent avec eux des maladies inconnues des Chinook, qui eurent pour effet de décimer ces Amérindiens et de mettre un terme à leur suprématie dans le négoce régional. Aujourd’hui, quelques Chinook vivent dans les réserves des Etats de Washington et de l'Oregon. Voir Quinault.
CHIPEWYAN : Dénés. Groupe linguistique athabasque. Au nord et à l'ouest du lac Athabasca au Canada et situé dans la région de Manitoba Hudson.
Le 21 juin 1899, le Traité 8 est signé entre la reine et les tribus du Nord de l'Alberta, Saskatchewan, Territoires du Nord-Ouest et nord est de la Colombie-Britannique : les Cris, les Castors, les Chipewyans et les Esclaves cèdent le Nord de l'Alberta au gouvernement fédéral.
Les Chipewyans étaient des chasseurs accomplis. Leur autre source de nourriture était le poisson qu’ils pêchaient avec des filets faits à partir des peaux de caribou. Des cérémonies été exécutées avant de jeter les filets. Les shamans croyaient que les loups avaient des pouvoirs surnaturels. Les animaux étaient respectés, mais ils n’étaient pas adorés.
La richesse d'un homme était mesurée en fourrures et en épouses. Les épouses pouvaient être gagnées ou perdues par la lutte. Au cours du combat, les deux hommes luttaient jusqu'à ce que l’un d’eux abandonne. Le gagnant emmenait la femme dans sa tente. Voir Métis.
CHIPPEWA : Voir Ojibwé.
CHIPPEWA CREE : La tribu Chippewa-cree (réserve Rocky Boy dans le Montana) descend des Cris qui ont migré au sud de Canada et des Chippewas (Ojibwe) qui ont déménagé à l'ouest des Turtle Mountains dans le Dakota du Nord à la fin du XIXe siècle.
CHIRICAHUA : Un groupe d'Apaches vivant dans le Sud-Ouest des États-Unis est connu sous le nom de Chiricahuas. Au moment du contact européen, ils habitaient une région d'environ 60 000 km2 dans le sud-ouest du Nouveau-Mexique et le sud-est de l'Arizona aux États-Unis, ainsi que dans le nord du Sonora et du Chihuahua au Mexique.
CHIWERE : Groupe de tribus sioux comprenant les Oto, les Ioway et les Missouri.
CHOCTAW, CHOCTOS, CHACTAS, CHAHTA : Mississipi, Oklahoma. Ennemis des Natchez. Chasseurs de têtes. Famille linguistique muskogéenne. Ils vivaient à l'origine dans une région qui comprend la Géorgie, l'Alabama, le sud du Mississippi et la Louisiane actuels.
Les Choctaw étaient moins guerriers que leurs ennemis traditionnels, les Chickasaw et les Creek, et vivaient dans des cabanes de terre et d'écorce couvertes de chaume. Ils étaient un peuple agraire employant des outils rudimentaires pour cultiver du maïs, des haricots, des patates douces, des courges et du tabac. Ils disposaient habituellement d'un surplus à vendre ou à échanger, élevaient du bétail, pêchaient et chassaient avec des sarbacanes, des arcs et des flèches.
Après l'arrivée des Européens, les Choctaw commencèrent à utiliser les chevaux comme montures et comme bêtes de somme. En même temps que les Séminoles et les Chickasaw, les Choctaw développèrent leurs propres élevages de chevaux.
Au cours des XVIIIe et XIXe siècles, les Choctaw furent obligés de s'enfoncer de plus en plus loin vers l'ouest pour fuir les agressions des colons européens. Le 18 octobre 1820, les Choctaws signèrent le Traité de Doak's Stand.
En 1842, ils avaient cédé la plus grande partie de leurs terres aux Etats-Unis et furent placés dans le Territoire indien, une terre qui leur avait été réservée dans l'actuel Oklahoma. Là, les Choctaw, avec les Creek, les Cherokee, les Chickasaw et les Séminoles, formèrent un groupe d'Amérindiens connu sous le nom des Cinq Tribus.
Ils organisèrent des gouvernements basés sur des constitutions écrites, et adoptèrent d'autres usages des colons européens, comme l'établissement d'écoles et de journaux. Les Choctaw combattirent du côté de la Confédération au cours de la guerre de Sécession.
Le 22 avril 1889, à midi, le gouvernement des Etats-Unis lança à coups de canons la "course à la terre" : les colons s’approprièrent les 800 000 hectares des terres indiennes de l'Oklahoma où avaient été regroupés les Chickasaw, les Choctaw, les Cherokee, les Creek et les Séminoles.
Les membres de la nation choctaw contribuèrent à développer le nouvel Etat d'Oklahoma (fondé en 1907). Aujourd'hui, la majeure partie de leurs descendants vit en Oklahoma ainsi que dans le Mississippi et en Louisiane.
Les membres de la nation choctaw contribuèrent à développer le nouvel Etat d'Oklahoma (fondé en 1907). Aujourd'hui, la majeure partie de leurs descendants vit en Oklahoma ainsi que dans le Mississippi et en Louisiane.
Les femmes choctaw avaient le droit d'élire les chefs de clan. Chaque clan était constitué de plusieurs lignages et chaque lignage était placé sous la responsabilité d'une vieille femme appelée "la mère", à l'autorité incontestée et incontestable. On retrouve souvent le visage archétypal de ces femmes aux côtés des chefs de tribu dont elles étaient les conseillères. Il arrivait également qu'elles exercent des fonctions de chaman.
CHOKONEN : Voir Chiricahua.
CHOUANONS : Voir Shawnee.
CHUKSANSI : Voir Yokut.
CHUMASH, SANTA BARBARA : Situé en Californie.
CIBECUE : Voir Apaches.
CLACKAMA : Situé dans l'Oregon. Langue : Chinook.
CLALLAM : Etat de Washington. Langue : salish.
CLATSOP : Situé dans l'Orégon. Langue pénutienne.
CLAYOQUOT : Voir Nootka.
CLINKET : Voir TLINGIT.
COAIQUER : voir KWAIKER
CŒURS D'ALENE, SKITSWISH : Situé dans le Nord de l'Idaho. Langue le Salish.
COLUMBIA : Situé dans le Nord de l'état de Washington.
COLVILLE : Situé dans l'état de Washington. Langue le salish.
COMANCHES, NUMINU, CAUMACHES, PADOUCA : Groupe linguistique uto-aztèque-towan. Venus de leur territoire originel et aride de l'ouest des Montagnes Rocheuses au XVe siècle, ils chassèrent les Apaches de leurs terres avant d’en être eux-mêmes chassés par les Texans.
Excellents cavaliers, ils volèrent les pintos. Ils prirent leurs chevaux préférés aux Espagnols, avant d'en faire eux-mêmes l'élevage. Ils n'hésitaient pas à attaquer les campements des colons et des autres tribus, faisant même des incursions jusqu'au Mexique. Ils firent la paix avec le gouvernement des Etats-Unis en 1875.
Au début du XIXe siècle, la population comanche comptait environ 30.000 individus, mais une épidémie réduisit rapidement leur nombre à moins de 10.000. Leurs descendants vivent aujourd'hui dans des territoires de l'Oklahoma. L'activité principale de ce peuple nomade était la chasse au bison. Organisées en clans patrilinéaires, les familles vivaient dans des wigwams. Ils étaient vêtus de peaux de daim et portaient des chapeaux en fourrure l'hiver.
Emblème de guerre : un scalp entier de bison avec les cornes. Hommes et femmes étaient tatoués.
Leur religion était essentiellement centrée sur la révélation surnaturelle, obtenue grâce à une période de jeûne et d'isolement. Ils croyaient que les esprits des animaux leur portaient chance et pouvaient leur venir en aide. Ils pensaient en outre que des esprits protecteurs vivaient dans les rochers et se manifestaient avec l'orage.
Dans beaucoup de tribus, les femmes pouvaient choisir de devenir femme médecine. Chez les Comanches, l'épouse d'un homme médecine assistait son mari. Parfois, lorsqu'elle s'était illustrée par sa sagesse et son savoir, les gens du village venaient la voir en priorité.
La plupart du temps, ces tâches valorisantes pour les femmes venaient s'ajouter aux corvées de tous les jours sans pour autant constituer une activité à part entière. Quanah Parker né vers 1845 probablement au Texas, mort en 1911 près de Fort Sill, Oklahoma. Il était le fils métis d'un comanche et d'une prisonnière noire, Cynthia Parker.
Ayant refusé le traité de Medicine Lodge (1867) et la déportation des Comanches, il mena des actions de harcèlement contre les pionniers installés à la frontière du Texas. Battu à Adobe Walls en 1874, il accepta les coutumes des Blancs, popularisa l'instruction, favorisa le développement de l'agriculture dans l'Oklahoma où sa tribu avait été déportée.
CONESTOGA : Ils font parti de la famille des Iroquois. Ils sont situé proche de la Rivière Susquehanna et ses affluents.
CONOY, PISCATAWAY : Ils font parti de la famille des Algonquiens. Ils sont situé sur la Rive ouest de Chesapeake Bay dans le Maryland.
COOS : Centre et centre sud de la Côte de l’Oregon ; estuaires de la Coos Bay, et des rivières Umpqua and Siuslaw. Ils formèrent une confédération avec les Umpqua, les Siuslaw, les Hanis et les Miluk.
COPPER ESKIMO : Ils font parti du groupe des Inuit Nunavut. Les Copper Eskimo se servaient de leurs dépôts de cuivre naturel pour commercer avec d’autres groupes.
COQUILLE : Situé dans l'Orégon.
CORBEAUX : Voir Crow.
COSTANOAN : Situé dans la Californie.
COUGAR : Voir Erie.
COUNA : Voir Kuna.
COUSHATTA : Langue parlé le muskogee. Tribu ayant dû quitter l’Oklahoma pour s’installer au Texas.
COWASUCK : Voir Abénaquis.
COW CREEK : Situé dans l'Orégon.
COWLITZ : Situé dans l'Oregon et dans la région occidentale de l'état de Washington aux États-Unis. Les Cowlitz sont séparés en deux groupes : les Taidnapams et les Kawlics.
Il parle la langue salish par. Par la suite, les Taidnapams ont adopté la langue Sahaptin de l'Est de la chaîne des Cascades. Simon Plamondon, un québécois, épousa la fille du chef Scanewea. Voir également Quinault.